TBS Education est la première grande école de commerce de France à proposer un parcours digitalisé à distance, adapté aux joueurs sportifs de haut niveau. Depuis six ans, plus de 200 joueurs, arbitres et joueuses sont passés par cette formation de TBS Education.
Isabelle STRUNC, 30 ans, joueuse de basket de haut niveau, devenue en fin de mois dernier championne de France, a choisi la formation de Business Manager chez TBS Education. Concilier vie sportive, performance de très haut niveau et reconversion professionnelle c’est possible grâce à TBS Education.
Son type de formation a trois particularités :
C’est ce qu’a réalisé Isabelle STRUNC cette année, en profitant de cours en ligne adaptés à ses horaires d’entrainement et de match, mais aussi avec une coordinatrice pédagogique dédiée qui pouvait répondre à toute ses questions. Une championne de France qui à la tête sur les épaules et qui prépare son après carrière.
Qu’est-ce qui a poussé Isabelle STRUNC à choisir TBS Education et la formation de business manager sportif, pourquoi elle a pris en compte une reconversion professionnelle, ainsi que d’où vient son inspiration quotidienne, découvrez dans ce portrait “inspiring students”.
Le deuxième séminaire annuel du laboratoire “Social & Innovation Marketing“ se tiendra sur site, à TBS Education, le 23 juin 2022.
Le thème principal de l’atelier est “Le marketing en période de turbulence“.
Depuis plusieurs mois, le monde fait face à des situations de crise inédites. Qu’elles soient environnementales, géopolitiques, technologiques économiques ou sociales, ces crises ont des impacts conséquents sur notre vie quotidienne, y compris les décisions des entreprises et les choix des consommateurs. Les conséquences liées à la consommation doivent être mieux comprises par les chercheurs en Marketing et les praticiens afin de relever ces défis.
Nous parlerons de Marketing en période de turbulences en présence de deux invités : la professeure Aimee Drolet de l’Université de Californie Los Angeles (UCLA) et le Professeur Andrea Ordanini de l’Université Bocconi Milan. D’autres présentations des membres du laboratoire sont prévues ainsi que d’autres invités.
Nous invitons chercheurs, doctorants, étudiants, et praticiens à se joindre à cet évènement. N’hésitez pas à vous inscrire en sélectionnant l’une de ces deux formules:
Nous sommes impatients de vous accueillir à Toulouse, la ville rose !
Date limite : Avant le 20 juin 2022
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Pour plus d’informations, contacter Linda HAMDI-KIDAR : l.hamdi-kidar@tbs-education.fr
La question de la gestion des talents a largement dépassé la sphère des Ressources Humaines : elle suscite un engouement croissant à la tête des entreprises, chez les universitaires et même au sein des gouvernements. Et plus elle est comprise dans une perspective globale intelligente, plus elle peut porter ses fruits.
La gestion globale des talents, tout le monde y pense, tout le monde en parle mais de quoi s’agit-il au juste ? Et que peut-on en attendre ? La gestion des talents serait-elle une nouvelle façon de gérer les Ressources Humaines ? Contrairement à de nombreux concepts répondant à des problématiques d’entreprises, la « gestion des talents » n’a pas été conçue par des universitaires: elle est née dans le monde des affaires et du conseil où elle s’est développée avant d’attirer l’attention du milieu académique.
Traditionnellement, la gestion des talents est définie comme la détection, le recrutement, le développement, la rétention et la gestion des individus répondant aux objectifs stratégiques et économiques des entreprises.
Les universitaires ont détecté deux démarches différentes dans les pratiques des entreprises : l’approche inclusive et l’approche exclusive. La première voit chaque collaborateur comme un talent, un « capital humain » qui doit se voir donner l’opportunité de développer ses compétences pour évoluer professionnellement. L’approche exclusive, en revanche, est élitiste. Elle concentre son action sur une sélection de collaborateurs ciblés, à haut potentiel pour l’entreprise, à qui est proposée une « voie rapide » de progression.
Par Amelie Abadie, Professeur de Marketing à TBS Education
Cet article fait le résumé de deux publications en collaboration avec plusieurs professeurs partenaires (dont Pr Soumyadeb Chowdhury à TBS Education), respectivement dans le Journal of Business Review (CNRS 2, FNEGE 2,) et sur The Converstion.com.
Dans son ouvrage « Sapiens : une brève histoire de l’humanité », le Professeur Yuval Noah Harari nous indique que la force de l’Humain face à la Nature est son imagination. La capacité de l’Homme à interpréter son environnement et développer une fiction sur celui-ci, qu’il transmet et ancre dans la mémoire collective sous forme d’une connaissance, représente cet avantage de survie face au monde sauvage. L’individu codifie son expérience et la transmet à un autre, que ce même receveur interprète et personnalise à la sienne, créant un ordre social singulier à l’espèce Humaine.
Dans le monde de l’entreprise aujourd’hui, cet univers sauvage apparaît aussi à l’œil des équipes au rythme des évolutions technologiques constantes et disruptives. Il s’agit de saisir l’opportunité d’un avantage compétitif au travers de machines performantes et désormais intelligentes. Selon les analyses économiques récemment publiées par les cabinets PwC, IBM, Gartner Research ou Deloitte, l’Intelligence Artificielle aura accru le PIB mondial de 15% en 2030. Ces bénéfices sont déjà visibles : l’Intelligence Artificielle améliore la performance des unités de production, automatise des tâches, assiste l’Humain dans les processus de décision, de recrutement, et prédit les performances à venir ou tendance. En effet, l’IA recense les stimuli présents dans la chaine de valeur et dans l’organisation qu’elle accumule dans les mégadonnées. Elle en analyse le contenu grâce à l’apprentissage automatique et profond de ses données via des réseaux neuronaux numériques, analyse dont elle modélise une histoire logique quelle transmet à d’autres machines par l’internet des objets, ou à nous, collaborateurs humains.
En ce, l’Intelligence Artificielle représente un animal numérique plus que menaçant pour le salarié, reprenant cette force de fiction dans des capacités virtuelles. Ce sont les peurs d’être remplacés par les machine intelligentes ou de voir ses responsabilités réduites au sein de la coopération en équipe qui freinent aujourd’hui encore les entreprises les plus modernisées vers une adoption réussie de l’Intelligence Artificielle. Principalement, le manque de connaissances partagées et clarifiées sur cette technologie, et ses bénéfices, sont à la base de mauvaises utilisations de l’IA et des croyances limitantes des salariés. Selon le World Economic Forum, l’adoption de l’IA par les entreprises a déjà rendu près de 75 millions d’emplois superflus entre 2018 et 2022. Seulement, le World Economic Forum précise qu’elle a également favorisé la création de 133 millions d’emplois associés, pour développer, collaborer, superviser et maintenir les IA durant ces dernières années. Les entreprises sont ainsi invitées par certains professeurs et professionnels à élargir la perspective de leurs équipes vers les bénéfices et les connaissances liées à l’Intelligence Artificielle.
Ce fut aussi l’objectif du travail de recherche « AI-Employee collaboration and business performance: Integrating knowledge-based view, socio-technical systems and organizational socialisation framework », publié dans le Journal of Business Research (CNRS : 2, FNEDGE : 2) en coécriture entre les professeurs Soumyabeb Chowdhury et Amélie Abadie, de TBS Education, Pawan Budhwar, Prasanta Kumar Dey et Sian Joel-Edgar, de Aston Business School. Dans cette démarche d’étude, la connaissance y est présentée comme la fondation d’un capital, à la fois social et technologique, qui incarne l’identité même de chaque entreprise, la rendant unique, inimitable et rare. Dans cette perspective narrative, les auteurs ont soutenu la thèse qu’un culture organisationnelle du partage de connaissance était alors vectrice de capacités à « socialiser » cette technologie au sein des équipes de travail, et à faire fructifier la collaboration Homme-IA vers la performance commerciale.
Dans les industries créatives, l’usage d’Intelligences Artificielles s’est accru, assistant les artistes dans la création d’œuvres, secteur pourtant basé sur la créativité humaine, aux activités difficilement automatisables. C’est ce terrain qui a été choisi pour mettre le modèle théorique de cette recherche à l’épreuve de la réalité, dans une étude par questionnaire, auprès de 164 salariés du secteur créatif familiers des IA, en Grande Bretagne entre Octobre et Novembre 2020. Cette culture du partage de connaissance, où les salariés ont pour réflexe de transmettre leur expérience, en la codifiant, et de s’approprier celle des autres, en la personnalisant, améliore les capacités de l’entreprise à acquérir des capacités valorisant la collaboration Homme-IA. Précisément, une entreprise qui instaure des valeurs de partage des connaissances motive le développement naturel de compétences liées à l’Intelligence Artificielle, comme le développement de programmes informatiques, la maîtrise des logiciels d’IA ou la maintenance des infrastructures d’IA. Le partage de connaissances impacte aussi positivement la compréhension des salariés quant aux enjeux de l’IA pour leur entreprise. Ils identifient ce que veux dire IA, où l’appliquer et quels en sont les bénéfices. Enfin, le partage des connaissances implique clarté rehaussée sur le changement que peut apporter l’adoption de l’IA pour le salarié. Celui-ci comprend alors mieux comment se définit sa responsabilité face à la machine, quelles sont les activités dont il reste souverain et ce qu’il peut déléguer et attendre d’un robot intelligent. Les compétences, la compréhension et la clarté sur l’Intelligence Artificielle qui découlent d’une culture du partage de connaissances lorsque l’entreprise adopte cette technologie est surtout à la base d’une confiance du salarié quant à l’assistant intelligent. Confiance qui est renforcée par ses connaissances acquises et transmises, mais qui, si elle vacille, est aussi supportée et rassurée par ses collègues dans un esprit collaboratif.
Ces principes de connaissance, confiance et collectivité entraînent l’entreprise qui adopte l’Intelligence Artificielle vers une collaboration Homme-IA réussite, augmentant ses performances économiques et opérationnelles face aux concurrents. Aujourd’hui, le succès de l’Intelligence Artificielle apparaît encore à l’œil de beaucoup d’entreprises comme anecdotique ou comme menaçant, échouant parfois à comprendre l’humain. Pourtant, selon les résultats de l’article « AI-Employee collaboration and business performance: Integrating knowledge-based view, socio-technical systems and organizational socialisation framework », il ne s’agit pas d’attendre que l’Intelligence Artificielle ne progresse suffisamment pour appréhender sans échec toutes les facettes de la créativité humaine. Au contraire, il s’agit plutôt de mobiliser nos capacités ancestrales d’humains à transmettre nos expériences et se rassembler autour de narratifs pour appréhender le développement de l’Intelligence Artificielle.
Les candidats et candidates à l’élection présidentielle ont rendez-vous avec le collectif #EC2022 – L’Economie Circulaire Dans La Présidentielle pour le “Grand Oral Economie Circulaire”, organisé à ESCP Business School, et retransmis dans le grand amphi de TBS Education, mercredi 16 mars, dès 18h.
En introduction de cette soirée, l’école vous propose une conférence avec Christian GNEKPE, professeur en Stratégie, Entrepreneuriat et innovation à TBS Education. L’objectif de cette table ronde est de comprendre le concept d’économie circulaire, l’enjeu qu’il représente et de découvrir quelques applications concrètes.
A partir de différents projets comme WASTE2BUILD – Using the Waste Demolition to Build within a Circular Economy approach, financé par le programme européen LIFE, ou la déconstruction du petit palais des sports en prévision de la construction du futur campus de TBS, Christian GNEKPE expliquera comment le secteur du BTP intègre cette démarche dans les projets de construction et de rénovation
Pour la seconde partie de cette soirée, le “Grand Oral de l’Economie Circulaire” sera retransmis dans le grand amphi de TBS Education – Campus Lascrosses.
Les candidats et candidates à l’élection présidentielle auront 15 minutes d’intervention :
Pour participer à cet événement engagé et avoir une vision éclairée sur les mesures des candidats, inscrivez-vous dès maintenant !
#EC2022 est un collectif non partisan lancé en mars 2021 dont le but est de placer l’économie circulaire au centre des préoccupations de toutes les candidates et tous les candidats à l’élection présidentielle de 2022.
ll regroupe plus de 150 experts de la société civile, du monde académique, des entreprises, du secteur public et du secteur associatif.
Jeudi 9 et vendredi 10 décembre 2021 se tiendra la 16e édition des ANEDD ! Cette année, la thématique choisie par nos étudiants et étudiantes du Programme Grande Ecole est Horizon 2030 : agir aujourd’hui pour préserver demain, qui sera traitée sous 3 axes : environnementaux, sociaux et sociétaux.
Le 17 novembre 2021 a eu lieu la Learning Expedition du M2 – Manager en Stratégie et Développement International 2021 en partenariat avec la société KIPPIT, sous le signe de la RSE, du Développement Durable et du Néo-Consumérisme.
Des équipes mobilisées, interactives, solidaires, cohésives ont joué le jeu de la Learning Expedition 1ère Edition M2 2021.
Les Equipes de la TBS Library ont apporté un appui terrain de proximité : conseils et bases de données sectorielles. Surtout, ces 3 journées conclues par un pitch oral devant le client ont favorisé réflexivité managériale et prise de conscience de la construction de la compétence acquise depuis le début de la formation tout au long du parcours diplômant.
Pour en savoir plus sur la société Kippit :www.kippit.fr
“La Learning Expédition, c’était un temps fort pour notre Promo !C’est une expérience que nous avons vécue en équipe et qui nous a appris à mieux nous connaître. Ma crainte sur cette mission qui s’effectuait sur trois jours était de savoir si nous allions pouvoir développer un bon esprit d’équipe et être capable d’orienter les compétences de chacun et de chacune d’entre-nous vers l’atteinte de notre objectif.J’ai rapidement constaté que toutes et tous, nous étions contents de nous rencontrer sur le site de TBS Entiore et que l’énergie déployée était très positive. Là j’ai su que nous allions passer de bons moments.Bien sûr, nous avons dû composer avec les aléas, relever des défis que seul il aurait été impossible de relever ; fédérer une équipe vers un objectif commun tout en accommodant les personnalités de chaque membre n’a pas manqué de sel. Mais au final, écoute, consensus, empathie et détermination ont été les clés qui nous ont permis de rendre notre dossier avec le sentiment d’avoir accompli un bon travail en équipe. L’expérience de la Learning Expédition nous a soudé et pour longtemps.”Mehdy JACQUARD, Alumni TBS – Apprenant M2 en cours de diplomation – manager de promo. – Directeur commercial chez BLACK MOUNTAIN
“La Learning Expédition, c’était un temps fort pour notre Promo !
C’est une expérience que nous avons vécue en équipe et qui nous a appris à mieux nous connaître.
Ma crainte sur cette mission qui s’effectuait sur trois jours était de savoir si nous allions pouvoir développer un bon esprit d’équipe et être capable d’orienter les compétences de chacun et de chacune d’entre-nous vers l’atteinte de notre objectif.
J’ai rapidement constaté que toutes et tous, nous étions contents de nous rencontrer sur le site de TBS Entiore et que l’énergie déployée était très positive. Là j’ai su que nous allions passer de bons moments.
Bien sûr, nous avons dû composer avec les aléas, relever des défis que seul il aurait été impossible de relever ; fédérer une équipe vers un objectif commun tout en accommodant les personnalités de chaque membre n’a pas manqué de sel. Mais au final, écoute, consensus, empathie et détermination ont été les clés qui nous ont permis de rendre notre dossier avec le sentiment d’avoir accompli un bon travail en équipe. L’expérience de la Learning Expédition nous a soudé et pour longtemps.”
La Learning Expedition est un travail extrêmement important à mes yeux dans notre parcours diplômant.Elle est en effet le reflet d’une vie d’entreprise et d’une cohésion de groupe nécessaire dans la vie professionnelle.La pression du résultat, l’entraide, l’alignement de l’ensemble des “consultants”, la soutenance ou encore l’envie de relever le défi sont mis en avant durant ces 3 jours et résument ce que nous vivions quotidiennement en entreprise.La durée est optimale même si le contenu reste très dense et très riche.La gestion des équipes en “présentiel / distanciel” reste pour ma part le petit bémol.Des équipes en 100% présentiel sur Entiore serait à mon sens une réelle plus-value à cette formation. Pour le reste, ce fut une joie ainsi qu’un réel challenge de pouvoir participer à cette Learning Expedition. C’est un réel plus à ce diplôme Bac+5Apprenant – Maxime BOYER – Responsable des Achats du Comité Social et Economique Airbus Opérations Toulouse
La Learning Expedition est un travail extrêmement important à mes yeux dans notre parcours diplômant.
Elle est en effet le reflet d’une vie d’entreprise et d’une cohésion de groupe nécessaire dans la vie professionnelle.
La pression du résultat, l’entraide, l’alignement de l’ensemble des “consultants”, la soutenance ou encore l’envie de relever le défi sont mis en avant durant ces 3 jours et résument ce que nous vivions quotidiennement en entreprise.
La durée est optimale même si le contenu reste très dense et très riche.
La gestion des équipes en “présentiel / distanciel” reste pour ma part le petit bémol.
Des équipes en 100% présentiel sur Entiore serait à mon sens une réelle plus-value à cette formation. Pour le reste, ce fut une joie ainsi qu’un réel challenge de pouvoir participer à cette Learning Expedition. C’est un réel plus à ce diplôme Bac+5
Une fois de plus, le constat est clair que laisser la main aux apprenants est une méthode d’apprentissage qui mobilise leurs efforts et leurs ressources, parfois inédites, au maximum. Avoir en face de soi un client est un challenge bien concret ; Dans notre cas ici, travailler avec Kippit nous a mis en face d’une entreprise extrêmement avant-gardiste, qui mêle et confronte écoresponsabilité et challenges industriels et environnementaux. Une vraie aventure industrielle qui a donné un excellent « grain à moudre » à nos apprenants.Le professeur référent – Alain FAIVRE-DUPAIGRE – Dirigeant de la société AVISEE – Consultant en management interculturel et intervenant TBS
Une fois de plus, le constat est clair que laisser la main aux apprenants est une méthode d’apprentissage qui mobilise leurs efforts et leurs ressources, parfois inédites, au maximum. Avoir en face de soi un client est un challenge bien concret ; Dans notre cas ici, travailler avec Kippit nous a mis en face d’une entreprise extrêmement avant-gardiste, qui mêle et confronte écoresponsabilité et challenges industriels et environnementaux. Une vraie aventure industrielle qui a donné un excellent « grain à moudre » à nos apprenants.
Octobre 2022 donnera le GO de 2 nouvelles Learning Expedition car deux promotions : résolument internationales, elles valoriseront la RSE, l’industrie, le consulting dans un contexte de management en situation de crise… Surtout, une nouvelle dimension Hors des Murs pour impulser des échanges terrain chez le Client.
Vous souhaitez améliorer la situation sociale ou écologique de votre ville, région ou pays ? Avec ou sans idée, rejoignez l’aventure de la Social Cup : la coupe de France jeune de l’entrepreneuriat utile et social !
La Social Cup c’est la coupe de France des jeunes entrepreneurs sociaux ; elle est destinée aux jeunes de moins de 30 ans qui veulent faire bouger les choses en développant un projet à utilité sociale ou environnementale.
Cette année la Social Cup se déroule dans nos locaux, à Toulouse ! Avec l’aide d’animateurs aguerris et d’autres jeunes de 18 à 30 ans motivés et enthousiastes, des idées vont émerger et généreront peut-être de nouvelles entreprises écoresponsables et engagées !
La social Cup se déroule en 3 actes
Mardi 7 décembre : atelier émergences
Découvrez l’entrepreneuriat social et faites émerger vos idées lors de cet atelier à 17h30, sur notre campus Lascrosses.
Samedi 11 décembre : créathon
Vous avez une journée pour faire émerger vos idées, les transformer en projet et les présenter lors d’un super pitch, de 9h à 18h, sur notre campus Lascrosses.
Jeudi 10 mars : La Grande Finale !
Les meilleurs projets de chaque ville viendront pitcher, de 9h à 18h, dans un lieu tenu secret !
Envie d’en savoir davantage ? Contactez-nous par email : entrepreneuriat@tbs-education.fr
Plaquette de présentation Social Cup
TBS a reçu le prix de l’écomobilité dans la catégorie “Modes Actifs”, ce vendredi 19 novembre 2021, lors du Forum Toulouse Zéro Carbone : “De la COP21 à la COP 26”.
Ce prix remis par Jean-Michel Lattes, Président de Tisséo Collectivités récompense l’engagement de TBS pour réduire son empreinte carbone du côté de la mobilité. Des actions ont d’ores et déjà été réalisées, avec un impact positif sur la réduction de l’empreinte carbone. D’autres verront le jour avec la création du futur campus toulousain en 2025.
Le plan de mobilité a été réalisé en 2017, avec l’ensemble des parties prenantes de TBS, toutes volontaires pour travailler sur ce sujet de mobilité en partenariat avec la SMTC et Tisséo. Après plusieurs mois de réflexion, des actions concrètes ont été définies dans le plan d’action RSE de TBS et des KPI ont été identifiés pour suivre cette opération.
AYAV est une journée dédiée à la promotion des modes de déplacements doux.
Au programme : petit-déjeuner offert aux personnes venant en 2 roues, atelier de réparation et entretien de vélo, stand sécurité routière, démonstration de BMX, comptabilisation des émissions de C02 économisées et stand vélo smoothie !
Suivez AYAV sur les réseaux : Instagram et Facebook
Depuis 2019, les salariés de TBS réalisant des trajets domicile / travail en vélo ou vélo à assistance électrique peuvent demander une Indemnité Kilométrique Vélo.
Le nombre de collaborateurs utilisant le dispositif a doublé en 2 ans, passant de 11 personnes en 2019 à 22 personnes en 2021. Ce nombre devrait encore grimper en 2022.
Afin de réduire son empreinte carbone sur les transports, TBS travaille dès à présent sur la mobilité douce de son futur campus.
En effet, la mobilité de demain en ville sera active et durable. Il faut permettre aux personnes de choisir ces modes de déplacements en toute sécurité.
Le pari est pris de ne laisser que 6 places de parking sur notre nouveau campus et de mettre 170 places de stationnements vélo et 50 places de stationnement trottinette dans un espace sécurisé en sous-sol du bâtiment.
Un travail avec la mairie de Toulouse est également en cours pour ajouter des places de stationnement Vélo’Toulouse aux abords du futur campus.
“Je tiens en tant que Directrice générale à remercier et saluer le travail de nos directions Transition Sociétale, Ressources-Humaines, Administrative et Financière, le corps professoral, et de nos apprenants. Ce trophée est le reflet de ce travail collectif traduit par des engagements forts de l’école autour de l’écologie, de la mobilité et du bien-être. Un chemin reste encore à mener et nous appelons toutes les entreprises de notre territoire à s’engager à nos côtés pour relever ces défis de demain.”— Stéphanie Lavigne, Directrice Générale TBS
“Je tiens en tant que Directrice générale à remercier et saluer le travail de nos directions Transition Sociétale, Ressources-Humaines, Administrative et Financière, le corps professoral, et de nos apprenants. Ce trophée est le reflet de ce travail collectif traduit par des engagements forts de l’école autour de l’écologie, de la mobilité et du bien-être. Un chemin reste encore à mener et nous appelons toutes les entreprises de notre territoire à s’engager à nos côtés pour relever ces défis de demain.”
Le 18 novembre 2021, TBS Education sera une nouvelle fois parrain et partenaire de l’Aéroforum organisé par La Tribune. Un événement majeure qui réunira dès 18h30, la filière aéronautique occitane au musée Aéroscopia.
L’Aéroforum 2021 sera l’occasion d’échanger sur l’avenir de l’industrie aéronautique avec des experts qui viendront présenter et commenter les perspectives quant à la remontée des cadences de production.
19h00 – MOT D’ACCUEIL
Jean-Christophe TORTORA, Président de La Tribune
19h10 – DISCOURS D’OUVERTURE
Étienne GUYOT, Préfet de la région Occitanie et du département de la Haute-GaronneStéphanie LAVIGNE, Directrice générale de TBS
19h20 – SEQUENCE D’OUVERTURE (Table Ronde)
Clémentine GALLET, Vice-Présidente du comité Aéro PME (GIFAS)Didier KATZENMAYER, Directeur des affaires industrielles d’AirbusThierry QUILLET, Directeur Général adjoint du GIFASMagali VAISSIERE, Présidente de l’IRT
19h45 – DUOS INNOVATION – “Les entreprises remarquables”
Corinne d’AGRAIN, Présidente du directoire l’IRDI Capital InvestementMaxime HARDOUIN, Président-Directeur Général d’AEROSPLINEJean-Christophe LAMBERT, Co-fondateur et CEO d’Ascendance Flight technologies
Table-ronde animée par Pierrick MERLET, Journaliste à La Tribune
19h50 – SÉQUENCE 1 : QUALITÉ
Serge DUMAS, Président de Gillis AéroJean-Bernard RODRIGUEZ, Vice-Président région Grand Sud de CGI
20h00 – DUOS INNOVATION – “Les entreprises remarquables”
Jérémy CAUSSADE, Président et Chief Engineer d’AURA & TOULOUSE MÉTROPOLEPhilippe LEBAS, CEO d’AIRUDIT & 3DSAgnès PLAGNEUX BERTRAND, Adjointe au Maire de Toulouse en charge des relations avec les acteurs économiques, Vice-présidente de Toulouse Métropole en charge de l’aéronautique et du spatial
20h10 – SEQUENCE 2 : FINANCEMENT
Guillaume BENHAMOU, Directeur Général d’Ace Capital PartnersNicolas BONLEUX, Directeur Général de LiebherrPatrice CAUVET, Directeur général du CIC Sud-OuestPauline LAMBERT, Directrice générale de PSD AeroPhilippe ROBARDEY, Président Directeur Général de Sogeclair
Table-ronde animée par Florine Galeron
20h50 – DUOS INNOVATION – “Les entreprises remarquables”
Sylvie DAGNET, Chief Experience Officer à StirweldAlexandre WILLEMONT, Senior Vice President – Airbus Global Account Manager at Expleo Group
SÉQUENCE 3 : FORMATION
Antoine POTEZ, Directeur Général de Potez AéronautiqueBruno BERGOEND, Président de l’UIMM MP – OccitanieTBS – Sylvain BOURJADE, Professeur de finance à la Toulouse Business SchoolTable ronde animée par Pierrick Merlet
21h55 – CLÔTURE
Jalil BENABDILLAH, 8ème Vice-président la Région Occitanie en charge de l’Economie, de l’Emploi, de l’Innovation et de la RéindustrialisationPierre-Olivier NAU, Président du groupe Manatour
Fermement ancrée dans son territoire aérospatial toulousain, TBS propose également un centre d’excellence (sous la supervision de Sylvain BOURJADE) qui couvre toutes les thématiques de management liées à ce secteur en pleine transformation.
TBS a une longue histoire dans l’éducation des managers du secteur, avec des programmes spécifiquement conçus pour répondre aux besoins des entreprises d’aujourd’hui :
Le Centre d’Excellence Aeronautics & Space pilote également des projets de haute voltige en collaboration avec des partenaires de renom :
Sous l’égide de l’Université Fédérale de Toulouse, TBS participe à la création d’une Université Européenne de l’Espace, projet qui porte le nom d’UNIVERSEH. Ce projet vise à doter l’Union Européenne d’une université de référence du secteur du spatial en réunissant les expertises d’acteurs reconnus dans le domaine de l’éducation aérospatiale. L’objectif est d’aligner les compétences dans l’enseignement supérieur et la recherche avec les besoins futurs du marché du travail pour stimuler l’emploi, l’industrie et rendre le secteur spatial plus durable.