La mobilité internationale : voilà bien un domaine impacté par la crise du Covid. Partenaire de plus de 100 universités et écoles dans le monde, TBS fait le maximum pour maintenir le semestre d’expatriation en 2e année de Bachelor dans les meilleures conditions. L’expérience de cette année montre que quand cela se révèle malgré tout impossible, des solutions alternatives de qualité existent pour les étudiants dont le séjour a dû être annulé :

« TBS a la chance d’avoir des campus à l’étranger, à Barcelone et à Casablanca, sur lesquels les étudiants pourront faire leur expatriation. Nous avons également renforcé les coopérations avec nos universités partenaires pour proposer un semestre virtuel en enseignement à distance », précise Florence Ramillon, directrice des Relations internationales à TBS.

A l’écoute des questions des étudiants

Pour l’année prochaine, il est évidemment beaucoup trop tôt pour se prononcer. On peut  toutefois raisonnablement espérer que la situation finisse par s’améliorer durablement, d’autant plus que les étudiants bénéficient d’un statut dérogatoire. TBS maintient un lien permanent avec le ministère des Affaires étrangères pour suivre l’évolution de la situation, et notamment les ouvertures des frontières dans les différents pays.

Sous réserve de la situation sanitaire, le principe des affectations dans les universités partenaires est donc maintenu. Les étudiants de 1re année devront remplir des dossiers de candidature et passer des tests linguistiques IELTS pour être sélectionnés.

« L’objectif de ces tests est d’assurer le succès des étudiants dans leurs études, explique Florence Ramillon. C’est pourquoi les étudiants sont répartis en deux groupes : ceux qui ont le meilleur niveau de langue en anglais passeront l’IELTS en janvier pour un départ au premier semestre de l’année prochaine. Les autres suivront des cours de préparation pour passer le test en Avril et partiront au second semestre. »

Les étudiants peuvent retrouver toutes les informations liées à l’expatriation sur la plateforme Campus, ainsi que des retours d’expérience d’étudiants partis les années précédentes. Le service de la mobilité internationale organise également régulièrement des « flash expat » en visioconférence pour les aider à s’organiser : comment remplir son dossier d’inscription, se loger, prévoir son budget… Ceux qui le souhaitent ont aussi la possibilité de prendre rendez-vous pour un entretien individuel.

Internationalization at home

Dans ce domaine comme dans les autres, TBS s’adapte pour continuer à offrir la meilleure expérience à ses étudiants. Quelles que soient les possibilités qui s’offriront l’année prochaine, la crise ne remet pas en cause la stratégie d’internationalisation qui irrigue l’ensemble des programmes :

« L’internationalisation passe par différents canaux. La mobilité en est un, essentiel, mais nous en proposons d’autres comme l’offre de cours en English Track sur tout le parcours des 3 années, la possibilité de faire son stage à l’étranger, la diversité des nationalités de nos étudiants, le fait d’avoir 50% de professeurs étrangers au sein de notre faculté, les partenariats de recherche avec de nombreuses universités, ou encore les conférences internationales. Le Bachelor ne manque pas de solutions pour internationaliser le profil de ses étudiants », conclut Florence Ramillon.


How the international aspect is remaining a key part of the Bachelor programmes

International mobility is one of the areas heavily impacted by the Covid crisis. Partner to more than 100 universities and schools around the world, TBS is doing its utmost to maintain the semester abroad during the second year of the Bachelor programme in the best possible conditions. Experience this year has shown that when this nevertheless proves impossible, there are high-quality alternative solutions for students whose trips have had to be cancelled:

“TBS is fortunate to have campuses abroad, in Barcelona and Casablanca, where students can spend their semester abroad. We have also linked up more closely with our partner universities to offer a virtual semester of distance learning,” says Florence Ramillon, Director of International Relations at TBS.

Ready to listen to students’ questions

It is obviously much too early to predict what will happen next year. However, it is reasonable to hope that there will be some lasting improvements, especially since students benefit from a dispensation. TBS maintains permanent links with the Ministry of Foreign Affairs in order to monitor the situation, in particular the opening up of borders in different countries.

Subject to the health situation, the principle of sending students to partner universities is therefore maintained. First year students will have to fill in application forms and take IELTS language tests to be selected.

“The aim of these tests is to ensure the students succeed in their studies,” explains Florence Ramillon. It’s why students are divided into two groups: those with the best level of English will take the IELTS tests in January for a departure in the first semester of next year. The others will take lessons to prepare for the test in April and depart in the second semester.”

Students can find all the information about studying abroad on the Campus platform, as well as feedback from students who have studied abroad in previous years. The International Mobility department also regularly organises “flash” videoconferences on studying abroad to help students get organised: how to fill in their application form, find accommodation, plan their budget, etc. In addition, those who so wish have the possibility of a personal interview.

Internationalisation at home

In this area like in others, TBS is adapting in order to continue offering the best experience to its students. Whatever the possibilities for next year, the crisis does not challenge our internationalisation strategy, a key aspect of all our programmes:

“Internationalisation has different forms. Mobility is an essential one, but we also offer others, like English Track modules throughout the 3 years, the possibility for students to do their internship abroad, the presence of students of diverse nationalities, the fact that 50% of our faculty members are foreigners, research partnerships with many universities and international conferences. There is no shortage of solutions for internationalising our students,” concludes Florence Ramillon.

Florenceramillon