Après l’été, place à la rentrée y compris même pour les managers et dirigeants ! Retrouvez les dates de rentrée des différents programmes.
Full-time : le 2 octobre 2017Part-time : le 9 octobre 2017
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Toulouse : le 23 novembre 2017Paris : janvier 2018Casablanca : décembre 2017
Les étudiants du MS RRH vous invitent à une conférence-débat autour de “la cooptation, mode de recrutement efficace ou dangereux ?”
Nombre de places limité.
Vous êtes à la recherche d’un emploi et vous souhaitez vous former aux métiers du Management de projets spécialisés dans les systèmes d’information (SI) ? TBS et le Conseil Régional coopèrent et s’engagent pour permettre la prise en charge des frais de formation de 10 demandeurs d’emploi et / ou salariés en transition de carrière, à partir d’octobre 2017.
Dispensée à TBS depuis plus de 20 ans, la formation Manager de projets en systèmes d’information a pour vocation de former de managers habiles dans le développement et la gestion de la performance d’une entreprise. Chef de projet SI, analyste, consultant, assistant, administrateur, responsable conduite du changement, directeur de PME / PMI… Les débouchés de ce programme sont riches et recherchés par les entreprises.
D’une durée de 9 mois, la formation « Manager de projets en SI » est dispensée à temps plein pour les demandeurs d’emploi (ou une semaine par mois pour les salariés). Les candidats doivent justifier d’un Bac avec cinq ans d’expérience professionnelle managériale ou d’un niveau BAC + 2 et 3 ans d’expérience professionnelle.
Le process de recrutement des candidats, bénéficiant d’une de ces 10 places, est actuellement en cours. Vos candidatures sont à adresser à TBS, avant le 15 septembre, via le site web de l’école.
“La formation m’a permis d’atteindre mes objectifs professionnels. La transversalité du programme fournit de solides compétences en systèmes d’information et la compréhension des enjeux stratégiques des différentes composantes d’une entreprise. De plus, c’est dans le cadre de cette formation et plus précisément lors de la mission d’audit, que j’ai rejoint l’entreprise dans laquelle j’évolue toujours.”— Témoignage de Fabien DOLIVEUX, responsable ECM, PARTITIO, ancien apprenant de la formation Manager de projets systèmes d’information
En savoir plus sur la formation Manager de projet systèmes d’information ›
Accounting, Control & Performance Management LAB,with the contribution of ACPM Lab, presents
2017 edition: 29-30 June, Barcelona
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Best papers in a special issue
European Management Journal
2017 keynote speakers
Prof. Ruth Aguilera, D’Amore-McKim School of Business, Northeastern University
Prof. Bobby Banerjee, Cass Business School City University London
Thomas Clarke, Key University Research Centre for Corporate Governance, Sydney
Morten Huse, University of Witten/Herdecke, Germany
Coral Ingley, AUT University, Auckland, New Zealand
Lotfi Karoui, Ecole de Management-Normandie, France
Wafa Khlif, Toulouse Business School Barcelona, Spain
Silke Machold, University of Wolverhamptron Business School, UK
Sabina Nielsen, Copenhagen Business School, Denmark
Konan A. Seny Kan, Toulouse Business School, France
Sibel Yamak, European Academy of Management, UK
Corporations were originally designed as a means of creating wealth and have become a dominant model for collective economic action. Initially centred on an economic function, corporations are now asked to serve social requirements and to engage in the struggle against inequality, discrimination, corruption, poverty, global warming and other global issues. These requests for wider corporate accountability clearly contest the power dynamics between market, national states and civil societies.
The global economic and social turmoil underlines that a clear dynamic of societal and corporate change is taking place. The old global system seems no longer maintainable. Many initial assumptions about the appeal of global development and governance have run aground on the shoals of countervailing realities. The overall trend of political despair and disillusionment, the loss of confidence in the markets as unique arbiter of value creation and distribution and the marketable appeal of governance best practices seem to have come to an end.
Management literature has begun to question these issues and to call for a deeper understanding of the dynamics of political, social and corporate change. Management scholars, but also political science and law scholars urge a rethinking of definitions and frameworks for “corporation”, “capitalism” and “democracy”. Distinctive calls to rethink the purpose, form and value of organisations are converging upon the broad concept of “corporate” governance to better grasp the changing interplay of governments, civil society actors, and corporations.
Corporate governance has become a vital issue in managing corporations of all types in an increasingly uncertain and complex global environment. Such complexity necessitates rethinking, also, concepts such as organisational structure, mechanism, process, and strategy within an emerging new transnational order.
Constructed through the analytical lens of western powers, the well-beaten paths of mainstream corporate governance models, guidelines and reforms without comprehensive, encompassing and innovative theories have not engaged with contemporary and evolutionary debates for equitable and sustainable global development. Accordingly, studies are needed which examine these dynamics from multiple perspectives, and employing critical thinking to build knowledge for generating new creative, alternative approaches to corporate governance.
Three main tenets can be debated in this call for new studies:
Different meanings and interpretations of organisations offered by non-managerial theories could lead to new understandings of the complex “new” socio-economic corporate reality.
Understanding the hegemony of formal markets reveals the hidden domination of “new” old elites who are deeply involved in the growth of all types of markets. Formal and informal markets are becoming intertwined in a way that only focused analysis can shed light on as to which is truly contributing to societal wellbeing.
Rethinking the question of markets and corporations in rigorous and creative ways without rethinking and reframing central – even taken-for-granted – analytical and theoretical rubrics of democracy, such as “inclusion”, “participation,” “diversity”, “citizenship”, “imperialism,” and “identity?”
In this call for papers we invite academics to submit cutting edge research dealing with emerging directions to rethink the definitions and frameworks for ‘corporation’, ‘capitalism’ and ‘democracy’” in relation to corporate governance and sustainability. We seek empirical and conceptual papers which address a diverse set of issues that include but are not limited to the following debates:
Wafa Khlif , Toulouse Business School Barcelona, Spain
Coral Ingley , AUT University, Auckland, New Zealand
Lotfi Karoui , Ecole de Management-Normandie, France
Konan A. Seny Kan , Toulouse Business School, France
Workshop (29th-30th June 2016)
Deadline for submission of 4-page proposals > April 30, 2017
Notification of acceptance > May 12, 2017
Early bird/author registration > May 25, 2017
Deadline for full text submission June 18, 2017
In Euros (VAT incl.)
* are included: documentation, coffee breaks, lunch, diner gala
REGISTER > PROGRAM >
For any specific information please contact: workshop(@)tbs-education.es
Submissions should be sent to: workshop(@)tbs-education.es
PREVIOUS EDITIONS > 2016 PHOTO GALLERY >
Alors que les oraux d’admission touchent à leur fin, la Directrice du programme Grande Ecole de Toulouse BS s’est confiée au Figaro Étudiant : prépas, nouvelle maquette pédagogique, frais de scolarité…
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Le 21 juin 2017, François BONVALET, directeur général de Toulouse Business School et Monsieur le Bâtonnier Bertrand DESARNAUTS, Président de l’Ecole Des Avocats Sud-Ouest Pyrénées (EDASOP) ont renouvelé leur partenariat pédagogique.
Objectifs : promouvoir le Mastère spécialisé® Management Juridique des Affaires auprès des étudiants de l’EDASOP et faciliter leur intégration.
La connaissance des contraintes des entreprises constitue un atout déterminant pour les juristes d’affaires, capables d’avoir une approche « business » des dossiers. Opérationnels, les diplômés du MS Management Juridique des Affaires sont parfaitement capables, dans un contexte de complexité et d’internationalisation du droit, d’articuler les objectifs de l’entreprise avec les règles qui s’imposent à elle.
Des aptitudes recherchées par les cabinets et les entreprises qui privilégient aujourd’hui des candidats dotés d’une solide formation juridique, doublée d’un diplôme d’une Grande Ecole de Commerce.
En savoir plus sur le MS Management Juridique des Affaires ›
Louise Curran, Professeur de Marketing et International Business :
Tout le monde s’attendait à ce que Trump se retire (des accords de Paris). C’est complètement cohérent avec sa vision du monde. L’Union Européenne et la Chine (ainsi que le reste du monde) vont continuer avec les compromis accordés en 2015 et, de cette façon, des « emplois verts » seront créés dans ces pays-là. Dans quelques années, les Etats-Unis vont se réveiller avec un nouveau gouvernement et ils se rendront compte qu’ils « ont marqué un but spectaculaire contre leur propre camp », en voulant sauver quelques emplois dans les mines de charbon et en laissant partir ailleurs beaucoup plus d’emplois (mieux payés et de meilleure qualité) dans le secteur de l’énergie solaire et éolienne. Leur perte est notre bénéfice, économiquement parlant, mais la planète va certainement se dégrader à cause de cette décision.
Delphine Gibassier, Professeur de Contôle de Gestion, Comptabilité et Audit :
L’abandon des accords de Paris pourrait avoir des conséquences inverses à celles que Trump espère. En fait, il y a deux tendances qui jouent en faveur des actions pour le climat et contre les négationnistes du changement climatique. En premier lieu, les investisseurs et les consommateurs sont devenus très actifs et ont provoqué de nombreux changements dans les entreprises, durant ces 15 dernières années. Malgré le fait que beaucoup de pays (et pas seulement les US) n’ont pas appliqué certaines régulations, la tendance est généralisée et traverse les frontières. En second lieu, ce grand pas en arrière est un élément clé pour la résistance et l’appelle à l’action des sociétés, des entreprises, des gouvernements locaux, des communautés scientifiques et des citoyens. De la même façon, nous ne pouvons pas oublier que beaucoup des bonnes pratiques en termes de changement climatique sont nées aux Etats-Unis : le standard global pour la comptabilité carbone dans les entreprises, le GHG Management Institute et le premier Master en Comptabilité carbone qui a ouvert au Colorado il y a quelques années ; et tout ça, même si les gouvernements précédents n’ont pas toujours soutenu les actions pour le climat.
Notre recherche démontre que les moteurs des actions pour le changement climatique ne sont pas nationaux mais globaux. Ils poussent les entreprises à agir, sans égard à la position de leur gouvernement. Cela se confirme par exemple par la naissance au niveau mondial, de la profession de Comptable environnemental, qui est en pleine croissance dans différents pays, et ce avec ou sans le soutien de leurs gouvernements, ou encore, avec ou sans législation spécifique.
Gilles LAFFORGUE, Professeur d’Economie, specialisé en changement climatique :
L’annonce par Trump du retrait des Etats-Unis – le deuxième pays émetteur de CO2 après la Chine – de l’Accord sur le Climat signé à Paris en 2015 provoque, sinon un vent d’inquiétude, du moins un raz-de-marais de consternations de la part de la communauté internationale.
Dans les faits, ce retrait est toutefois à relativiser au regard du niveau d’engagement, somme toute assez modeste, en matière de réduction des émissions qu’avaient pris les Etats-Unis il y a 2 ans. Il n’est donc absolument pas certain que l’on assiste dans les mois à venir à un accroissement soudain des concentrations de CO2 dans l’atmosphère. Ceci est d’autant plus vrai qu’aux Etats-Unis, les politiques environnementales sont rarement menées au niveau fédéral et que chaque état a au contraire une certaine latitude dans leur pilotage. Or, bon nombre de ces états ont d’ores et déjà annoncé de prendre à contre-pied la décision de l’administration Trump et de poursuivre leurs efforts de de réduction des émissions carbonées comme ils s’y étaient engagés.
En outre, en affirmant agir ainsi pour venir en aide au secteur de l’extraction charbonnière et aux industries lourdes de la Rust Belt, les Etats-Unis soutiennent dans les faits l’activité-type du 19ème siècle, voire du 20ème, qui sont par nature les moins productives. A titre d’illustration, vouloir rendre à nouveau compétitif le charbon américain face à d’autres sources d’énergie primaire dont les prix ont fortement chuté ces dernières années (notamment le gaz, nettement moins polluant, mais aussi l’énergie solaire) nécessiteraient d’importants investissements et un recours aux subventions publiques qui au final, ne feraient qu’alourdir la facture pour les américains.
Donc si les risques de l’imminence d’une catastrophe climatique ne sont pas forcément accrus suite à ce retrait, on peut néanmoins déplorer un gaspillage d’énergie et une perte de temps par ailleurs précieux face à l’importance de ces enjeux. Mais les véritables perdants dans l’histoire sont sans aucun doute les pays en développements les plus vulnérables face aux bouleversements climatiques. En effet, en suspendant toute contribution au programme d’indemnisation de ces pays qui avait été mis en place par la COP 21, Les Etats-Unis ne font qu’aggraver encore un peu plus leur situation déjà précaire.