Toulouse Business School propose deux nouvelles spécialisations dans les domaines du vin, de la restauration et de l’hôtellerie :
Ces modules seront accessibles en formation continue et en part-time.
Si vous êtes amateur de vin ou professionnel du secteur, en phase de reconversion professionnelle avec le souhait de vous lancer dans la restauration et/ou l’hôtellerie, ces spécialisations vous permettrons d’acquérir les connaissances théoriques et pratiques pour mettre en œuvre une stratégie de développement commerciale et manager des équipes.
Rendez-vous le 15 mars à 12h sur Campus Channel, avec Fabienne ORIOT, responsable du programme.
Ce programme vise à former des experts de haut niveau dans les métiers complémentaires et stratégiques du contrôle de gestion et de l’audit interne. Il prépare aux métiers de contrôleur de gestion et d’auditeur interne. L’accent est également mis sur le leadership métier grâce au Parcours Executive. Deux formules sont proposées au rythme et au besoin de chacun en fonction de son parcours antérieur et de ses objectifs. Nos étudiants sont particulièrement appréciés par les entreprises pour leur excellente connaissance d’Excel et de VBA. Cette maitrise constitue un avantage concurrentiel indéniable !
Campus Channel ›
TBS Alumni vous propose d’assister à une table ronde pour précéder la Journée Portes Ouvertes du campus parisien.
En savoir plus sur la table ronde ›
Dans le cadre des Portes Ouvertes du campus parisien où vous pourrez rencontrer les responsables pédagogiques et commerciaux des programmes développés à Paris, TBS Alumni vous propose d’assister à une table ronde:
Pierre HURSTEL (ESC 1980) : Président TBS Alumni et Fondation, Fondateur du cabinet de conseil en management “Matière à Réflexion”
Paul FABRE (EMBA 2014) : Président de l’Interprofession des Vins du Sud-Ouest, sacrée «Wine Région of the Year 2017»
Laurent BAUDART : Délégué Général national SYNTEC Numérique
René ROBERT (ESC 1980) : Responsable pédagogique de l’Executive MBA de TBS
La table ronde sera suivie d’un cocktail.
Parce qu’on ne peut pas demander à un tout jeune bachelier d’avoir une vision précise de son parcours, nous avons pensé notre programme de façon évolutive. L’étudiant prend son temps et se pose les questions relatives à son orientation et à sa spécialisation étapes après étapes.
Tout d’abord il a le choix de la langue : espagnol et anglais sur le campus de Barcelone, français et anglais sur celui de Toulouse. En B1 il suit un tronc commun et doit se poser la question de son choix d’expatriation pour son année de B2 qui se compose de la suite de l’enseignement de socle commun, d’un semestre dans un autre pays et d’un stage. En B3 il est temps pour lui de poser les bases de sa spécialisation. Pour cela il a le choix entre 12 filières professionnelles dont l’alternance : 9 à Toulouse, 3 à Barcelone. Il lui faut également choisir une compétence fonction : Finance, Marketing, Management des Ressources Humaines, Pilotage de la Performance, Commerce international.
Afin d’aider l’étudiant dans ce perfectionnement, des électifs – cours à la carte – lui sont proposés depuis la rentrée de 2017. Au total ce sont 17 cours, 14 en anglais, 2 en français et 1 en espagnol, qui sont dispensés par des intervenants venus du monde entier, essentiellement de nos universités partenaires. Un autre aspect de notre pédagogie tournée vers l’international. Regroupés sur une période de quinze jours et accueillant une vingtaine d’étudiants, ces cours permettent d’aller plus loin sur des cas pratiques autour de l’esprit entrepreneurial, l’émergence des nouveaux marchés, la communication par la vidéo… Avec travaux à rendre à la clé.
Ce dispositif inédit en France vise à compléter le profil de nos étudiants par des compétences spécifiques, améliorer leur employabilité ou leur permettre de poursuivre des études spécialisées.
Il symbolise le parcours international d’excellence que propose TBS. A tout juste 24 ans, Jannik Heckenhahn a déjà habité ou visité de nombreux pays.
Il quitte Francfort pour entrer au Bachelor de TBS sur le campus de Barcelone. « Après le Bac, je me suis accordé une année sabbatique à l’issue de laquelle je savais que je souhaitais m’orienter vers un programme international. De toutes les écoles, TBS était la plus internationale. Sur le campus de Barcelone où j’ai suivi ma première année, sur 27 étudiants une seule était espagnole, quatre étaient français et tous les autres venaient du monde entier : une richesse ! ».
Et la richesse du programme de TBS qui lui permet de pouvoir changer de campus chaque année, Jannik va savoir s’en servir à bon escient. Après Barcelone cap donc sur le Japon pour son B2. Six mois à l’Akita International University, sise dans un petit village du nord du pays, puis le second semestre à Tokyo où il fait un stage dans une start-up. « J’étais curieux de découvrir leur culture des affaires, tellement différente de la nôtre. J’ai beaucoup appris pendant cette année sur la façon de gérer une équipe internationale de huit personnes de nationalités très disparates – Equatorienne, Philippine, Japonaise. Cette internationalité m’a permis de savoir désormais travailler avec des gens du monde entier, de parler différentes langues dont le japonais que je ne parlais pas avant d’arriver dans ce pays, de savoir créer des liens professionnels rapidement et surtout de savoir m’adapter aux autres coutumes très vite » explique-t-il.
Un choc des cultures pour ce jeune homme qui a grandi dans un petit village de trois cents habitants, près de Francfort, dont « 90% ont plus de 80 ans » confie-t-il avec une pointe d’humour. Fils d’une professeure auprès d’enfants handicapés et d’un père journaliste pour une chaîne de télévision publique, il confesse avoir choisi la voie du commerce parce que « ce sont des études qui permettent de combiner plaisir et emploi et qu’elles offrent un large éventail de possibilités ».
Après le Japon, Jannik s’installe à Toulouse pour son année de B3. Il termine major de promotion avec une moyenne de 17,3/20. A peine diplômé, il reprend son sac pour un voyage personnel qui le mène en Jordanie et Israël où il s’est rendu pour dit-il « voir sur place comment les gens vivent le conflit israélo-palestinien », puis il part en Chine chez sa meilleure amie, rencontrée sur le campus de Barcelone à TBS. Ensuite, retour à la case maison – Francfort – où il débute un stage chez Roland Berger, cabinet de conseil en stratégie. « Une experience formidable. Pendant ces cinq mois de stage, j’ai énormément appris, notamment comment travailler de manière efficace sans faire d’erreurs et comment concevoir des problématiques digitales et trouver des solutions rapidement. Grâce à ma performance j’ai été choisi pour le Students Club de Roland Berger. Les meilleurs 5% des stagiaires sont invités dans ce club qui nous permet de commencer dans la société de conseil sans passer par un “Admission Center” ou poser sa candidature. Directement après le stage, j’ai pris la décision de continuer à travailler dans l’entreprise pour quelques mois ».
Cette expérience terminée, Jannik s’est envolé pour le Rwanda où il travaille pour la start-up Water Access Rwanda. « Au Rwanda environ 40% de la population n’a pas accès à l’eau potable. Avec Water Access Rwanda on installe des pompes à eau et on ouvre des kiosques à eau auprès desquels les habitants peuvent acheter 20l d’eau pour environ 2 centimes €. Mon rôle est de développer une stratégie long-terme qui aide l’entreprise à devenir plus stable car pour l’instant elle est dépendante des dons étrangers ».
Une expérience de quelques mois avant de démarrer un Master. « Je sais ce n’est pas très français de procéder dans cet ordre, mais je voulais une expérience professionnelle avant d’attaquer le Master. Je suis aussi devenu un “Fellow for Peace” par le “Fellowship Kathryn Davis”. Ce programme aide les gens qui se battent pour un monde plus pacifique. Il m’a aussi attribué une bourse d’études pour une école d’été au Middlebury College aux États-Unis où je vais suivre un cours intensif de deux mois pour perfectionner mon japonais. Après ça, je commencerai mon Master au International Management de l’association internationale CEMS ».
Quand on lui demande qui lui a donné cette ouverture d’esprit sur le monde et cette confiance, Jannik Heckenhahn répond sans hésiter « TBS ! Je me souviens d’un cours au campus de Barcelone où le professeur nous a dit que quitter notre zone de confort n’est pas facile, qu’on rencontrera des difficultés, qu’on pleurera et qu’on voudra rentrer chez nous mais après avoir vécu toutes ces difficultés on saura qu’on a grandi. Et il a eu totalement raison ! J’ai quitté ma zone de confort en décidant de faire mon Bachelor dans trois pays différents et quand j’ai travaillé à Tokyo. Mais c’est aussi grâce à TBS, que j’ai choisi de travailler ici au Rwanda. Ce parcours m’a permis de toujours regarder par ailleurs. Ça n’a pas toujours été un chemin facile mais il m’a apporté tellement ! ».
Un parcours qui illustre parfaitement la personnalisation du Bachelor que propose TBS.